Zorroth a gardé assez d'énergie pour rédiger le compte-rendu du Ld de Vendome

 On notera la toujours magnifique performance de Youri sur les transitions J !

On notera surtout que en classement par catégorie… j’arrive grande gagnante ! 

Temps final  :

Tgv 5h27:25

Youpi 5h45:07

Bijou: 6h03:41

Papy :6h19:30

Zorroth : 6h24:34 

Et une pensée pour notre pauv’ Yoda garde malade qui n’a pu se mesurer à Tgv !

En espérant également que le Maori se soit remis de sa crise aigue de dégonflage de dimanche matin … 

Un débriefing rapide sur l’épreuve :- Nat : Eau à température idéale (même moi, je n’ai pas eu froid).

 MAIS : pas facile de nager dans un amas très dense d’algues !Moi, je dis qu’il y avait plus de 3000m ! 

- Vélo : Très beau parcours vallonné mais pas trop. MAIS un vent à décorner les bœufs ! 

 -CAP : 3 tours sympas  Bises

Belle série de vents chez les sardophs

Vendôme (le triathlon) après le Ventoux (le trail).
Ces vents ne sont pas vains, il y aura du bruit
avec nos sept représentants déterminés à se faire
entendre.

L'avertissement vaut pour tous les vantards qui
ne manquent pas d'air et qui s'extasient d'une brise
lorsque nous commandons à l'orage.

Départ à 11h pétante.

Bijoux, du fond de son échoppe, est toujours à l'affût.

Il fait la promotion d'une monture qui devrait faire 
sortir  de son enclos le cascadeur du dimanche au profil
volontaire et belliqueux de pensionnaire des arènes.

Connaissant son tempérament, il devrait se précipiter dessus
à moins qu'une véronique habile ne lui fasse tourner
le museau.

  Des nouvelles très rassurantes de Youri.
  
  Victime d'un odieux attentat, perpétré par un
  de ses "amis" du club, alors qu'il courait
  innocement sur une sente de montagne, il a chuté
  lourdement sur son genou.
  
  La blessure assez spéctaculaire nous a fait craindre
  que sa saison s'arrêtait là, et peut être même
  que sa carrière sportive était remise en cause.
 
  Fort heureusement il n'en est rien : un coton imbibé
  de désinfectant a permis de rétablir tout l'usage
  de cette précieuse articulation.
 
  Après tous ces accidents qui ont frappé la section
  avec lui nous poussons un vrai ouf de soulagement.

Seule, ultime présence humaine, dans une nature
inhospitalière, le cycliste ne compte que sur
lui-même pour dompter la montagne.

Ce héros, que rien n'arrête, ni le vent, ni la neige,
ni le froid, trace son chemin dans le névé récalcitrant
et laisse derrière lui le ruban noir de la route libérée.

Ton effort n'est pas vain et la fièrté d'avoir accompli
un exploit en tutoyant le sommet de l'Izoard est ta
plus belle récompense.

Soit heureux et partage avec nous les autres photos dans
l'album  Ascension à Monetiers les bains