Le blogueur dans les billets précédents
s'est rendu complice d'une "un femme"
ignominie, en commentant et publiant
des clichés indélicats de l'unique
sardophine.

En cette année du lapin, il n'est plus
temps de se mordre le croupion c'est
l'occasion de rendre hommage au charme
de celle sans qui ce groupe relèverait
plus du Village People que des pensionnaires
de clapier aux viriles vertus.

Surveillons le compteur des connexions,
nous verrons bien ce qui intéresse
l'internaute et si ce dernier ne manque pas
de sensibilité, ce dont je ne doute pas,
il saura reconnaître que sur ce site
où la gaudriole et le libertinage n'ont pas
leur place, il trouvera pour une fois
de la sensualité avec le bunny du CNSQY.