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    Annoncé depuis quelques mois , espéré par certains , redouté par d’autres , le retour du Zeb  

    dans le giron du CNSQY n’a pas laissé  insensible le peloton du dimanche .

     Malgré un embonpoint généreux qui à ce stade ne peut pas rentrer sans déborder  dans les limites admissibles  de la  surcharge pondérale le gaillard solidement campé sur sa  bicyclette  a redécouvert les routes locales avec un bonheur juvénile.

     Et c’est avec joie que les membres du CNSQY sous l’égide du maître de cérémonie revenu ont retrouvé le chemin perdu après tant d’années du frigo.

     

     


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  • Malgré ses démêlés avec la famille le penne , Youri répond présent au Swimrun de Grenoble du 27 aout . Beaucoup d'inquiétude pour lui qui de retour de vacances a trouvé porte close.

    Sans l'intervention d'un serrurier aussi efficace que cher il ne lui restait plus qu'a se présenter au foyer des jeunes travailleurs.

    Constatant, à ses dépens, que le passage de l'artisan était aussi dévastateur qu'un typhon sur les côtes tropicales pour le compte bancaire le lascar traumatisé mais heureux de renouer avec son intérieur pouvait envisager plus sereinement sa participation à l'épreuve.

    Dans l'enthousiasme de retrouver son appartement notre ami comme la porte qu'il lui avait résisté s'est engagé à se défoncer sur les 34.5 km de course et de nage alternées.

     

    Clé des champs


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  • Maori I

    Sans attendre la Bulle Papale , Maori expédie la messe : 

    Et voilà le travail !

    Comment finir 1er Ironman de son pays !

    J’attends plus que l’invitation place saint Pierre…je monterais au balcon avec François tout de rose vêtu, pour ouvrir les portes du paradis au CNSQY !

     

    La bise Maori

     


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  • Monseigneur Maori

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    SLOVENIE

     

    Après la découverte des Alpes slovènes en septembre dernier le joyeux couple d’aventuriers vidé mais heureux comme une paire de  coucous suisse  après les douze coup de minuit s’est attaqué avec l’inconscience qui caractérise le citadin confronté à l’ascension de la butte aux cailles  au grand tour des Annapurna. 

    Qu’on en juge des points culminant à 4 900 et  5 400 mètres d’altitude des étapes durant dix jours de 5 à 6 heures de marche par les sentiers népalais et une exposition  quotidienne à la cuisine locale. 

    Seront t’ils épris  de méditation transcendantale, auront t’ils concilié  la pratique du KAMA SUTRA dans le respect de la spiritualité tibétaine, ont t’ils , provocation ultime, mangé le Dal Bhat en s’essuyant sur le poil du Yéti ou plus simplement résisté au rythme de la marche?

     Nous attendons avec impatience leur retour et leur témoignage.       

     


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