• Zorroth, Tatasse et Papy s'offrent la traversée
    de la Corse par le mythique GR 20.

    Zorroth que les aléas et l'imprévisible caractère Corse
    ne sauraient détourner des 220 km et des 15000 mètres de d+,
    a préparé avec méticulosité l'escapade, transformant la
    redoutable randonnée en promenade dominicale de 7 jours.

    Pour le plus vieux les articulations eurent à pâtir des
    pentes abruptes des massifs traversés, mais de tous les
    sens c'est la vue qui a été la plus gatée.
    Même si l'odorat, pour des raisons bien moins noble a ,
    lui aussi, été outrageusement sollicité.

    Malgré une vigilance de chaque instant il faut déplorer
    une chute. Zorroth victime d'une sévère glissade dans le bac
    à douche est retombée lourdement sur le coude. 
    Comme quoi , sous la douche, les coudes mouillent.


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  • Après sa tournée aux quatre groins de la France 

    El Toro envoi sa première photo de vacances

              


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  • Bilan gastrosportif chiffré
    23/07 Matin - vélo 61 km 18 km/h 1245 m+         3h30
               AM    - vélo 43 km 22 km/h  467 m+     2h00
                        - CAP  4 KM   7 km/h   86+      0h30  
     
    24/07 Matin - CAP  24 KM   7 km/h   926+         3h00
     
    25/07       - vélo 129 km 18 km/h 2161 m+         7h05
                  - CAP  5 KM   7 km/h   140 m+        0h40
     
    26/07 Matin - CAP  8 KM   7 km/h   243+          1h00

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  • C'est à l'initiative de Zorroth, lozérienne passionnée,
    que 3 sardophs en pleine préparation de l'édition 2010
    d'Embrun pour 2 d'entre eux (Youri et Papy)et de
    l'édition 2011 pour le troisième (Renato) ont délaissé
    la Vallée de Chevreuse pour la découverte des routes vallonnées
    des gorges du Tarn, des grands causses de la vallée du Lot,
    et des sentes fleuries de l'Aubrac et de la Margeride.

    Plus encore que les 235 km de vélo et les 40 km de course à
    pied avec un dénivelé positif total de 5000 m, c'est dans
    l'approche de cette contrée farouche et de ses accortes
    habitants que le groupe a fait étal de ses qualités
    d'adaptation aux coutumes locales jusqu'à boire chaque
    paroles échangées, mais pas seulement.

    Du creux de la vallée, chez René, où l'anisette sur fond de
    saucisson sec coule à satiété, à la gentiane de Michel servie
    sur le plateau de l'Aubrac, ce sont  des pans entiers de la
    culture lozérienne qui sont exposés à la soif du pélerin avide
    de connaissances.
      
    Une véritable imprégnation  de la Lozère profonde où Youri ne
    s'est pas contenté d'en prendre plein les yeux.
    Troublé qu'il fut comme un Orlando devant son illustre soeur,
    par le récital de Zorroth enivrée des parfums de sa terre natale,
    et que les réminiscences d'un passé pas si lointain conduisent, à s'y
    méprendre, à entonner les ritournelles de l'envoûtante
    Dalida.

    Un grand moment d'art lyrique.

    Il faut le dire et le claironner, le sommet de ce WE ne se trouve
    pas en haut des Molines mais du côté de Laguiole.
    Sur la route la fringale réveille l'instinct infaillible  du cycliste pour
    dégoter sous les coups de midi le gastos montagnard où l'aligot élément
    (dixit Youri)est servi généreusement à la louche comme la guimauve à la
    foire du Trône.

    Mais le soir, abandonnant  l'inélégant cuissard  c'est au "3 étoiles" du cru
    que l'équipée se retrouve pour siroter dans l'attente de l'apprêt
    de la table un de ces nectars que l'amuse-bouche soutient plus délicatement
    qu'une coupelle,incongrue en ces lieux, de cacahuètes, face au couchant
    rougeoyant de l'Aubrac offert à la vue.

    Bras nous les ouvre. Dans une ambiance feutrée que des serveurs en livrée
    discrète viennent, dans un ordonancement parfait, troubler, pour déposer des
    compositions aux étonnantes saveurs plus proches de la plate-bande florale que de la crudité
    variée.
    Aucune faute de goût sinon l'addition.


    Un grand merci à Zorroth et à ses parents pour leur accueil,
    à Arlette et René  pour leur évocation du Paris bougnat et
    à  Gilette et Michel pour le déjeuner impromptu.

    + de photos dansl'album Lozère


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  • Avec l'autorisation du club cynégétique de Lozère et de ses environs

    nous avons le plaisir de présenter ,ici, une oeuvre toute fraîche de spontanéité

    et de candeur saisie en milieu naturel, de spécimens d'encornés en transhumance.

    Un grand merci à l'artiste pour avoir su capter  cet instant dans les conditions hostiles de

    la vie sauvage et restituer dans cette touchante composition , l'humaine animalité qui

    habite ces grands fauves.

     

     


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