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Par sectiontriathlon le 13 Septembre 2010 à 22:14
Zorroth, Tatasse et Papy s'offrent la traversée
de la Corse par le mythique GR 20.Zorroth que les aléas et l'imprévisible caractère Corse
ne sauraient détourner des 220 km et des 15000 mètres de d+,
a préparé avec méticulosité l'escapade, transformant la
redoutable randonnée en promenade dominicale de 7 jours.Pour le plus vieux les articulations eurent à pâtir des
pentes abruptes des massifs traversés, mais de tous les
sens c'est la vue qui a été la plus gatée.
Même si l'odorat, pour des raisons bien moins noble a ,
lui aussi, été outrageusement sollicité.Malgré une vigilance de chaque instant il faut déplorer
une chute. Zorroth victime d'une sévère glissade dans le bac
à douche est retombée lourdement sur le coude.
Comme quoi , sous la douche, les coudes mouillent.
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Par sectiontriathlon le 12 Septembre 2010 à 08:29
Après sa tournée aux quatre groins de la France
El Toro envoi sa première photo de vacances
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Par sectiontriathlon le 3 Août 2010 à 05:58Bilan gastrosportif chiffré23/07 Matin - vélo 61 km 18 km/h 1245 m+ 3h30
AM - vélo 43 km 22 km/h 467 m+ 2h00
- CAP 4 KM 7 km/h 86+ 0h3024/07 Matin - CAP 24 KM 7 km/h 926+ 3h0025/07 - vélo 129 km 18 km/h 2161 m+ 7h05
- CAP 5 KM 7 km/h 140 m+ 0h40
26/07 Matin - CAP 8 KM 7 km/h 243+ 1h00
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Par sectiontriathlon le 31 Juillet 2010 à 21:55
C'est à l'initiative de Zorroth, lozérienne passionnée,
que 3 sardophs en pleine préparation de l'édition 2010
d'Embrun pour 2 d'entre eux (Youri et Papy)et de
l'édition 2011 pour le troisième (Renato) ont délaissé
la Vallée de Chevreuse pour la découverte des routes vallonnées
des gorges du Tarn, des grands causses de la vallée du Lot,
et des sentes fleuries de l'Aubrac et de la Margeride.Plus encore que les 235 km de vélo et les 40 km de course à
pied avec un dénivelé positif total de 5000 m, c'est dans
l'approche de cette contrée farouche et de ses accortes
habitants que le groupe a fait étal de ses qualités
d'adaptation aux coutumes locales jusqu'à boire chaque
paroles échangées, mais pas seulement.Du creux de la vallée, chez René, où l'anisette sur fond de
saucisson sec coule à satiété, à la gentiane de Michel servie
sur le plateau de l'Aubrac, ce sont des pans entiers de la
culture lozérienne qui sont exposés à la soif du pélerin avide
de connaissances.
Une véritable imprégnation de la Lozère profonde où Youri ne
s'est pas contenté d'en prendre plein les yeux.
Troublé qu'il fut comme un Orlando devant son illustre soeur,
par le récital de Zorroth enivrée des parfums de sa terre natale,
et que les réminiscences d'un passé pas si lointain conduisent, à s'y
méprendre, à entonner les ritournelles de l'envoûtante
Dalida.Un grand moment d'art lyrique.
Il faut le dire et le claironner, le sommet de ce WE ne se trouve
pas en haut des Molines mais du côté de Laguiole.
Sur la route la fringale réveille l'instinct infaillible du cycliste pour
dégoter sous les coups de midi le gastos montagnard où l'aligot élément
(dixit Youri)est servi généreusement à la louche comme la guimauve à la
foire du Trône.Mais le soir, abandonnant l'inélégant cuissard c'est au "3 étoiles" du cru
que l'équipée se retrouve pour siroter dans l'attente de l'apprêt
de la table un de ces nectars que l'amuse-bouche soutient plus délicatement
qu'une coupelle,incongrue en ces lieux, de cacahuètes, face au couchant
rougeoyant de l'Aubrac offert à la vue.Bras nous les ouvre. Dans une ambiance feutrée que des serveurs en livrée
discrète viennent, dans un ordonancement parfait, troubler, pour déposer des
compositions aux étonnantes saveurs plus proches de la plate-bande florale que de la crudité
variée.
Aucune faute de goût sinon l'addition.
Un grand merci à Zorroth et à ses parents pour leur accueil,
à Arlette et René pour leur évocation du Paris bougnat et
à Gilette et Michel pour le déjeuner impromptu.+ de photos dansl'album Lozère
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Par sectiontriathlon le 27 Juillet 2010 à 21:43
Avec l'autorisation du club cynégétique de Lozère et de ses environs
nous avons le plaisir de présenter ,ici, une oeuvre toute fraîche de spontanéité
et de candeur saisie en milieu naturel, de spécimens d'encornés en transhumance.
Un grand merci à l'artiste pour avoir su capter cet instant dans les conditions hostiles de
la vie sauvage et restituer dans cette touchante composition , l'humaine animalité qui
habite ces grands fauves.
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