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    Belle sortie printanière pour les six qui ont
    découvert le parcours bucolique mais néanmoins
    sélectif de la cyclo des Essarts le Roi.
    75 km de route bien lisse et bien plate parcouru sur un rythme,
    au dire de certains, assez soutenu mais qui a permis à chacun de composer
    un joli bouquet de fleurs sauvages à la Paulette du CNSQY.
    Une sortie que n'aurait pas renié le barde de la bicyclette.
    Nos poètes aux pâquerettes et à manivelle auraient bien ajouté
    un nouveau couplet à la chansonnette. 

     


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  • Un nouveau récit poignant d'un triathlète du format Sprint 
    Dans la douleur
     
    Conditions difficiles des creux de 1m 50 dans l’eau avec du courant.
    Du mistral sur la partie vélo qui n’était pas facile avec 70 % du parcours
    en dénivelé positif avec passage d’un col.
    Sur le peu de parties plates, on avait le mistral de face.
     
    J’ai donc payé aussi mon absence d’entrainement depuis septembre.
     
    Mais je me suis quand même bien amusé.
    J’ai bouclé le sprint en 1H45. 20'08" en NATATION 54'30" sur le vélo
    et 31'21" sur la CAP.
     
    Sincèrement les conditions pour la natation n’étaient vraiment pas simples.
    Une vraie machine à laver, le courant nous déportait donc dur dur de rejoindre
    les bouées pour faire les virages et aussi de les garder dans le champ de vision
    avec les creux qu’il y avait. Il y a eu pas mal d’abandons sur la partie natation.
    La sortie se faisait aussi sur la plage avec de la caillasse donc fallait faire
    attention a pas s’éclater les pieds sur les roches.
    Pour la partie vélo, vu mon niveau et le peu d’entrainement
    ( 3 sorties depuis septembre), je me suis pas trop mal débrouillé.
     
    Par contre, je pensais saucer un peu plus sur la partie CAP mais je suis partie
    trop vite et je me suis tapé un point de côté sur la moitié du parcours.
    Ce qui a calmé mes ardeurs.
     

    Voilà les exploits d’ABRI BUS
    Sinon organisation sympa, paysage superbe, le soleil et la mer en prime.


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    Encore un Hauteurs et Vallées au compteur.

    Groupés , comme un banc de sardines dans un tsunami, tout au long du parcours très sélectif,
    les sardophes ont retrouvé deux vielles gloires qui ont fait le renom du club, Bijou et Zolive.

    Ces derniers , un peu émoussés , par une retraite sportive précoce,
    ont pu découvrir que les vertus de solidarité et d'assistance
    qui animent le groupe sont toujours la et à leur service.

    Et cela malgré une adversité météorologique qui n'a pas contrarié
    la bonne humeur et la convivialité des participants.

     


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    Accroupi au bord du chemin sous la frondaison, le vallon
    frémissant sous la brise printanière se dévoile dans l'aube naissante.
    Si près du sol, les effluves de l'humus invitent à la contemplation.
    Dans la brume matinale à peine dissipée , les rangs déjà bien dessinés
    de la vigne désignent le hameau encore endormi.

    Les ifs pointés vers l'azur cherchent à diriger le regard vers les cieux pour
    accrocher le nuage moutonneux qui trouble comme un enfant dissipé
    la profondeur de l'éther.
     
    Plus près les passereaux à la trille délicate s'égosillent en chœur,
    même le piètre pépiement des traquets et des crécelles n'altère pas
    l'harmonie musicale qui chatoie l'oreille.
     
    Les sens comblés, enfin apaisé le bas-ventre se relâche, la pêche d'une
    seule pièce se confronte à la gravité terrestre.
     
    Dans l'instant qui suit ce petit paradis éphémère se transforme
    en désert caillouteux et austère.
    Ni la fougère timide, à cette époque à peine bourgeonnante,
    ni le rameau défolié, ni la précoce primevère aux fleurs
    colorées, ni l'herbacée famélique ne sont d'un secours
    immédiat et ne  palient le manque de papier.

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    Zebman s'est fixé des objectifs dignes de sa grande
    époque.
    Eloigné de son club historique il n'a plus le
    bénéfice d'un encadrement sportif.
    Il doit donc s'en remettre au réseau qu'il a  astucieusement
    reconstituer autour de lui.
     
    Il nous livre son parcours fétiche , fait de rencontres
    et de convivialité.
     
    Passant d'un  pointage à l'autre il sait instantanément.
    quelle est sa progression.

    Il nous précise qu'il ne faut surtout pas contourner les sites repérés
    et n'en éviter aucun, en revanche pour varier le circuit il recommande
    de l'effectuer selon l'humeur en variant l'ordre des étapes .
     
    C'est la garantie d'un retour au meilleur niveau.
     
    Merci aux chronométreurs des estaminets:
    Le Central
    Le Bistrot
    la Place
    du Nord
    de la Tonnelle
    du Midi


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