Ce matin lors d'un entraînement c.à.p., Steph a ressenti une légère contracture. Malgré un massage, administré derrière un buisson par notre VP, Steph aura du rentré en marchant mais avec un large sourire. Les mains du VP auraient-elles des vertus inconnues?

Il n'est pas si courant de se faire rattraper, au cours d'une épreuve sportive,  par la courante.

D'aucuns diront que c'est chiant.

Cette expérience, peu ragoûtante, vient d'arriver à un de nos éminents représentants

durant une course qui se déroulait fort opportunément dans la partie boisée de la région

Occidentale de la banlieue parisienne.

Bien que ce dernier ait souscrit aux règles de la Charte écologique  il a été contraint à l'instar des aéroplanes en approche à un délestage aussi sauvage qu'imprévu.

On imagine difficilement le même désagrément survenant au Marathon de Paris devant une foule atterrée à la vue d'un tel spectacle et des concurrents totalement désemparés par

un marquage au sol inopinément irrégulier.

Ceci nous donne l'occasion comme nous l'avons déjà fait dans cette chronique d'apporter

un éclairage personnel bien qu'en demi teinte dans une zone sombre de l'individu.

Une fois de plus la section Triathlon qui n'a pas été affectée par la fuite des cerveaux, ne recule pas devant la complexité du problème, elle se positionne comme elle l'a toujours fait, face aux vents, elle met le doigt là où certains ne s'aventurent pas et où d'autres pincés du nez  s'en torchent.

Bien sûr les esprits chagrins, on en connaît peu mais tout de même, vous diraient que ce n'est pas le lieu (oserais je écrire d'aisance) pour tenir une chronique sur les effets dévastateurs pour l'environnement consécutifs  aux relâchements incontrôlés de sphincters indolents peu scrupuleux  du respect de la faune et de la flore (pas seulement intestinale).

Il faut s'écarter au plus  vite de cette impasse et emprunter le chemin de la connaissance  pour évacuer tous ces préjugés qui constipent les voies de la raisons.

Le bouchon de l'incrédulité doit sauter et laisser le champ libre à l'expression d'où qu'elle vienne.

La décongestion s'impose et la libération du péage de la  voie à grande circulation doit permette l'évacuation sans retenu du surplus embarqué.    

Il faut préserver ce passage de toutes entraves et pousser ce qui ne peu plus être retenu fusse au prix d'une émission délétère pour les narines.

Mais n'oublions que nous sommes en pleine nature.

Il ne nous appartient pas, ici, de commenter les épisodes scabreux qui suivent naturellement ces évènements car cela ne rentre pas directement dans notre contribution mais il faut ajouter

que vous irez au devant de gros problèmes si vous n'avez pas pris la précaution de vous munir de papier à usage dédié d'autant que la saison hivernale battant son plein les fougères se font rares.

En conclusion et comme dirait mon ami le bègue qui malgré son état n'en a pas moins de choses à dire :  tu n'as qu'a qu'a le faire

Greg joue la transition !!

Après les roues Campa Zonda sonores pour casser le moral de ses concurrents (Rappeler vous elles chantent en permanence : « t'es foutu, bzzz, t'es foutu bzz ... »).

Greg , technicien du tri sélectif a décidé d'améliorer la transition et sera équipé sur Roth d'une la bête de course taillée pour les transitions éphémères : la Patigreg.

Certains diront « il est pa'ti Goueg ? ». Ceux qui le connaissent mieux répondrons : non il a pas pris le départ.

Souhaitons-lui bonne chance !!

Hier soir, Thierno et sa petite famille ont invité les triathlètes du CNSQY a venir gouter quelques produits énergétiques. Certains, les plus anciens, n'ont pas hésité à nous faire une démonstration d'un ravito pris à la volée. Les p'tits nouveaux nous ont démontré leurs "qualités de descendeurs" et leur rapide adaptation aux coutumes du club. Un gros peloton devait, en guise de décrassge, faire une sortie le lendemain matin mais ce ne fut qu'un "groupeto".Les photos de la soirée se trouvent dans l'album "soirée babe". D'autres viendront s'ajouter dans la semaine.