• Toujours aussi inventif , El Toro, qui
    ne manque pas de moyens , revisite le
    Run and Bike.
     
    Cet affectif ne supporte pas longtemps
    l'effort solitaire du Bike et c'est très vite
    qu'il se précipite entre les bras d'un engin
    qu'une paire d'accortes portefaix et néanmoins
    très costaudes soulèvent, eu égard au poids
    transporté, avec un enthousiasme mitigé.
     
    Et si ces serviles porteuses appréhendent
    la rudesse de la tâche elle savent aussi que
    l'animal peut se montrer, lui aussi,  généreux
    dans le transport...amoureux. 

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  • Encore une soirée plombée chez les Dydey.
     
    Recruté par une équipe aux ambitions affichées
    l'Ulysse de la glisse prendra le départ à 22 heures
    laissant sa Pénélope en compagnie des Druckers et autres
    verbeux explosifs de la TNT.
     
    Parions que son sens de l'orientation ne sera d'aucune
    utilité à ses compagnons. Plus habitué à la rubalise
    qu'a la découverte de balises disséminées, on ne serait pas étonné
    qu'il se fourvoie dans les profondeurs nocturnes et avec
    lui toute son équipe, au premier changement de cap.
     
    Un avis de recherche est dors et déjà lancé pour
    avoir une chance de le récupérer avant lundi matin.

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  •  

    Tatasse s'inscrit à l'Ecotrail de Paris et n'attend pas l'arrivée pour livrer ses impressions  

     

     

     

     


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  • Enfin un Ironman qui oublie ses vapeurs et se plie aux tâches
    ménagères pour mériter son titre.

     
    De la table de massage à la table de repassage il n'y avait
    qu'un pas, il l'a franchi.
     

    Remisant le cadre carbone pour la semelle de fer le valeureux
    met la même ardeur à défroisser le foulard qu'à monter l'Izoard.
     
    Il y gagnera un sponsor :

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  • La météo ne les décourage pas et c'est encore
    ce triste spectacle qui est offert aux passants
    et autres promeneurs du dimanche qui ne peuvent
    que détourner pudiquement le regard, face à
    l'occupation de l'orée du bois, par cette population
    , toujours plus nombreuse des suceurs de roues.
     
    Il ni y a donc personne pour s'indigner de cette ignominie?
    Aucune autorité morale pour condamner ces pratiques?
    A quel moment  les pouvoirs publiques se décideront t'ils
    à prendre  les mesures évidentes qui s'imposent pour
    nettoyer les abords de nos belles forêts?


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