• Ouate else?

    Par sectiontriathlon le 5 Février 2012 à 12:12

     

    Peu de clients, ce matin , pour affronter le déluge floconnesque,
    seuls les deux téméraires de la babouche ont  gouté à la ouate
    de la neige fraîche.
    2 heures et quelques centimètres de poudreuse plus tard les
    intrépides du thermomètre n'ont pas boudé leur plaisir du retour
    dans le cocon douillet de leur foyer.

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  • Aller/retour

    Par sectiontriathlon le 27 Janvier 2012 à 20:57

     

    Tégève  pète la santé et nous le fait savoir : 
    Pour la question sportive je serai de nouveau sur
    mon vélo à partir du dimanche 5 février après 1 mois
    de convalescence forcée (opération d'une hernie
     inguinale cause de tous mes maux en 2011)

    Profitez bien
    @+ Tégève

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  • Prise de tête

    Par sectiontriathlon le 23 Janvier 2012 à 06:46

     

    Chers amis , ce blog a souvent , au cours de ces années
    passées, traité les évènements qui touchaient son petit
    monde, avec dérision et peut être avec humour .

    Cette fois l'heure est grave. Le ton sarcastique n'est pas de mise.
    Les circonstances douloureuses qui frappent notre communauté
    nous condamnent au silence respectueux et nous plongent
    dans un mutisme inhabituel.

    Notre Maori , réclamé depuis des années , par sa tribu d'origine,
    retourne avec les autres joues creuses et autres édentés dans son pays d'origine.
    Nous ne finirons jamais d'appréhender la richesse que cet homme
    nous a apportée.

    Pour avoir , durant toutes ces années, jouit de son 
    aura et de son charisme qui dépasse grandement 
    le petit cercle tribal, nous comprenons ces populations 
    du bout monde dans leur espoir du retour de leur 
    ancestrale figure.

    La transmission du savoir et des coutumes à son prix : l'absence. Dorénavant
    c'est le souvenir qui nous habitera.

    Nous resterons sourd aux coquecigrues des pisse-froid, qui prétendent
    que compte-tenu de sa présence aux entraînements, il devait être
    parti depuis longtemps.
    Signalé par D. la malice :


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  • Kilt ou double

    Par sectiontriathlon le 17 Janvier 2012 à 20:04



    Auréolé des succès de sa dernière saison et en pleine confiance
    Maori s'initie aux jeux virils des joyeux drilles écossais et les défie
    sur leur terrain.
    Les attributs solidement accrochés et offerts à tout vent il fait montre
    aux abords d'une cinquantaine pimpante d'une belle santé rigide.
    Encore une magnifique démonstration de notre champion qui n'hésite
    pas à payer de sa personne pour nous prouver que la maltodextrine
    en canette est une excellente boisson énergisante saine et sans effet secondaire.


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  • Fleur de selle

    Par sectiontriathlon le 15 Janvier 2012 à 14:43

     

    Le dernier qui l'avait aperçu sur un vélo devait se trouver
    dans les contre-allées du Champ de Mars en juillet 2011.
    Ce matin 15 janvier, une visite impromptue chez son vieux Vprez pour la bonne
    année et pour authentifier sa reprise, et voilà notre Yoda parti
    pour une de ses sorties solitaires dont il garde jalousement le
    secret, notamment sur la distance parcourue.

    Il n'a pas fallu beaucoup de kilomètres pour que le  
    vaillant soit bien vite frappé du mal de l'affleure de selle.
    Non il ne s'agit pas d'une de ces eaux de toilette ( La fleur de
    selle) qui font les beaux jours des bélâtres nouvellement 
    arrivés au club, pas plus qu'un complément alimentaire pour 
    bobo friqués en mal d'authencité non, c'est bien d'une grave pathotologie
    dont nous parlons ici qui peut toucher chaque cycliste de sexe male.

    Naturellement le sportif qui reprend une activité doit s'attendre à ce 
    que tout ou partie de son corps se réadapte avec difficultés à l'effort pratiqué,
    et pour le cycliste intermittent ce douleureux passage implique un tannage 
    du cuir des parties basses.
    Cette période pourrait effectivement s'appeler l'affleure de selle tant 
    la paire de rangoustans est exposée à un décollement prématuré 
    de l'envellope découvrant les noyaux dans leur virginale 
    simplicité.
    L'illustration plus bas est un cas extrême mais on peut tout 
    de même convenir qu'on en mangerait.



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