Le Pantani d'Edinbourg n'a pas sorti le kilt
pour nous montrer de bien belles choses
dans les grimpettes alpines.
On pourrait d'ailleurs le regretter en pensant
au réjouissant spectacle qu'il nous aurait offert
dans les plus fortes pentes en se déhanchant comme une
pensionnaire du Crazy Horse pour sonner le tocsin
tout au long des lacets gravis, le tartan plissé se
gonflant au rythme de la brise.
Une image.  
Non pas de place à la comptemplation c'est le jarret solide, solidement rivé sur sa selle,
fièremment campé sur son destrier que
Maori a ouvert la route des cols à peine libérés des neiges.
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