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  • Un titre de finisher à trois !

    Et bien il y aura eu besoin de trois dauphins afin de franchir cette ligne d’arrivée tant désirée.

     

    Avec un départ nat à 5h30 avec une temp. de 3°C, il n’en fallait pas moins pour mettre le moral à zéro de notre dream team du moment. Malgré tout nous prenons le départ. Maori explosera même son record personnel en natation avec un énorme chrono (3,8km en 1h15).

     

    Nous devons enfiler du « lourd » (thermique, gore tex, gants et bonnet) et c’est parti pour une journée difficile. Il fait froid mais le soleil est présent. Le vent se lève de plus en plus et nous vient droit dans la gueule. Des le premier passage vélo la messe est dite. Le premier passe avec 50mn de retard. Cela n’entame en rien notre volonté d’arriver au bout bien que!

    Nous passons un col hors catégorie sous le vent et la neige est présente au sommet. Les descentes sont dangereuses et humides et nous sommes gelés.

    Arrivée au pied de la sixième ascension je n’ai que 15mn d’avance sur la barrière horaire. Il faut donc finir en roulant « vite » et en espérant ne pas avoir de coup dur. Malheureusement j’explose,  et ce malgré un faux plat montant avec vent dans le dos, dans les dix derniers km. Je roule à 15km/h et plus rien dans les jambes.

    J’arrive au parc les larmes aux yeux imaginant ma mise hors course (3mn de retard). Je vois donc les arbitres qui s’approchent de moi et là, la gorge serrée, j’attends et entends le verdict : « vas y mon gars nous rajoutons 30mn sur la barrière ». Alors là c’est l’euphorie, je pense au VP et Maori et à un marathon à trois. Malheureusement, ma joie est de courte durée puisque ma femme m’informe qu’ils ont été victimes des ces P….. de barrières horaires.

    Je commence le marathon avec de bonnes sensations. Je fais les 10 premiers kiles à bonne allure mais mes batteries indiquant mon autonomie musculaire sont épuisées. Et là sortie de nulle part deux dauphins fraîchement vêtu de leur tri fonction, sortent du bois et me prennent sous leurs nageoires. Les côtes s’enchaînent avec un passage à 10%, les descentes font aussi mal aux jambes mais le plus dur est fait.

     

    Nous terminerons à la frontale, m’exécutant aux ordres de mes sparring partner (court, marche, court à droite ect.). J’arrive après 17h25 de course mais réellement vidé.

     

    C’est une course extrême, réservée à des grimpeurs avertis et qui ne ressemble en rien à un triathlon.

     

    Merci encore au VP et Maori qui ont enchaîné le marathon afin de me permettre d’arriver au bout ainsi qu’à nos deux pom pom girl (Steph & Monique) qui auront eu le courage de nous suivre jusqu’à la nuit.

     

    Greg

    Quelques photos dans l'album "altriman 2009"


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  • Deux de nos trois futurs altriman sortent leurs panoplies de mots d'excuses. Le premier d'entre eux, suite à une vilaine chute en vélo sur un chemin de terre perigourdin, souffre d'une cote et hésite à prendre le départ. Le deuxième souffrirait d'une contracture au niveau du dos. Heureusement le plus jeune est fin prêt! N'hésitez pas à les appeler afin de leur remonter un moral au fond des baskets. Merci pour eux.

    Seul 119 tocards seront au départ. le temps risque d'être long!


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  • Une dizaine de jours de vacances afin de nous permettre d'accomplir notre nouveau périple. N'ayez crainte, vidéos et photos seront au rdv (enfin j'espère!).


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  • Notre moumoute fraîchement berruyère sera trés probablement des notres ce dimanche pour le plus grand bonheur du peloton. Ci dessus le cliché de l'échographie de la future p'tite moumoute avec les yeux bleus du papa.


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