• Le coach de Papy El FENOMENO nous révèle
    enfin dans une vidéo indiscrète les secrets
    de sa préparation très personnelle à l'Utmb.

    Rappellons que ce dernier a terminé
    dans le même article du gratuit du soir
    consacré à la performance de Killian Jornet
    à l'UTMB.

    Des moments forts tournés dans les alpages
    du massif des Ecrins.

    Il nous donne des  recettes simples qui ont fait
    leurs preuves ainsi que des principes diététiques
    que l'on devrait adopter, avec un leitmotiv
    eviter la déshydratation
    .


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  •  

    Il y a peu, au travers d'un précédent billet, nous nous réjouissions

    de la présence dans nos rangs d'un tacticien de renom qui s'est fait

    une spécialité de la navigation en eau stagnante.

     

    Cette technique , assez rare, est d'un apport incommensurable pour

    la pratique de notre sport, au moins dans la partie aquatique.

     

    La démonstration de son art n'est plus à faire et le spectateur de

    l'Altriman avait eu à s'émerveiller de la prestation de celui qui

    s'apprête à nous transmettre son savoir.

     

    Mais notre homme ne se contente pas d'expériences passées et c'est

    avec un enthousiasme d'adolescent qu'il défriche de nouvelles pistes.

     

    Profitant de la première édition du Triathlon vert en pays Chartrain

    et du parcours accidenté en bordure de l'Eure il a courageusement

    défié les lois de la gravitation pour vérifier le théorème d'Archimède

    et réaliser la première boucle de Vtt en quittant la berge pour plonger

    sans combinaison , mais avec son vélo, dans la rivière.

     

    Grace à sa sagacité et vraisemblablement à l'eau froide il s'est vite rendu

    compte que cette innovante tentative de raccourci n'était pas profitable

    et qu'il était vain de penser à utiliser le courant plus avant.

     

    Rendons justice à la ténacité du gaillard Eugène qui a dans une série de floc floc

    douteux terminé la course.


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  • Youri et Bijou  avons participé à la rando des renards
    43 km de vrai vtt  avec 650 m de D+ et quelques portions
    plus roulantes dans le final dans lesquelles j ai essayé de
    pousser Youri a se faire mal.
    Mais notre ami n'aime pas les changements de rythme.
    Sinon sur le trajet ,rien que pour Youri, l organisation a reussi a nous prévoir 2 ravitos pour 43 km .

    Nous voilà prêt pour les 26 km du triathlon vert où nous
    espérons etre plus nombreux..

    Pour le moment insciption envoyee par bijou youri et yeti...
    Qui d autre ????


    BIJOU


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  • Image:Tigr-euph.png

    En direct du berceau de la civilisation notre poète du bout du monde nous envoie son billet :

    apres 3 jours sans le quıtter des yeux. je vıens de quitter l,euphrate.
    je me trouve donc entre le tigre et l,euphrate.....
    berceau de la cıvılısatıon . ou l,ecriture auraıt ete ınvente.
    a ma facon je commemore cette decısıve ınvention en imprimant des kilometres de PQ....
     
    je vıens d,avoır mon vısa ıranıen. 2 jours apres avoir renvoye la carte et le guıde d,ıran.....
    je n,y croyaıt plus
    quel con
     
    et bonus. je vıens de croıser un pti suedois qui va aussı la bas....
     
    je croıs que je vaıs me laısser tanter
     
    a plus
     
    stef
    Des photos (superbes et originales ) du globe trotter : 

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  • Vendredi 13 h
    Attablés pour l’ultime pasta party nous nous imprégnons de la sagesse du  Dawa Sherpa des collines du 7.8 (Pat ©) qui comme le  moine redoutant la déshydratation avant d’attaquer une enluminure alambiquée  sert une dernière mousse en psalmodiant cette biblique citation : Leffe toi et marche !

    Vendredi 18 h
    La ruée vers les sommets est déclenchée dans une frénésie hystérique qui trahit plus l’envie du traileur mélomane d’échapper aux décibels vagissants de la rengaine outrancière et lancinante saluant pompeusement le départ  que de se confronter  aux premiers contreforts alpins.


    Vendredi 23 h
    Malgrés la menace persistante de la grippe H1N1 le ravitaillement des Contamines est ouvert. Un des valeureux dug roupe brave la pandémie et prend en grippe le trail. Il s'en remet à la navette pour retourner à Chamonix.

    Samedi 1 h
    On se retrouve avec Pat © à La Balme et l'on devise gentiment des divers destins de nos camarades encore en course :
    - Tégève toujours sur la bonne voie à l'avant
    - Tatasse quelquepart devant ou derrière nous.

    Samedi 2 h
    Sur les hauteurs du Col du Bonhomme un brouillard tenace nous enveloppe dans la nuit ce qui paradoxalement m'incite à effectuer un soleil. Malgré la figure imposée je n'arrive pas à briller.

    Samedi 3 h 30
    Comme chaque membre du CNSQY qui passe en ces lieux l'arrivée aux Chapieux ravive le souvenir des exploits de Chapieuxman qui avait, en 2006, égaré son dossard sur le parking le contraignant à l'abandon.
    La compassion me tenaille et le froid apparaissant fige sur ma joue une larme que l'émotion fait naître.
    Chapieuxman si tu me lis saches que ces lieux seront hantés par toi à jamais.
     
    Samedi 9 h 30
    Courmayeur la bien nommée (courre meilleur) m'ouvre ses portes. J'y retrouve
    Tégève qui m'attendait pour m'annoncer qu'il allait se coucher.Dommage, pour la stratégie de course je suis livré à moi même. Je ne me rappelle plus où je devais accélerer.

    Samedi 18 h  
    Entre la Fouly et Champex-lac une rencontre avec une pierre vicieuse me contraint à diminuer ma taxe carbonne. Une des ampoules éclate me laissant penser qu'elle n'appartenait pas à la famille des basses tensions.

    Samedi 20 h
    Un premier gros dodo à Champex-lac. Je plonge dans le sommeil dans un désert affectif où pas un de mes camarades d'infortune ne vient me bercer. 

    Dimanche 02 h
    Le froid et le sommeil irrépressible me conduisent tout droit sur l'un des lits de l'infirmerie de Trient. On s'occupe de moi.On me bichonne. Une bouillotte, une couverture, et une délicate assistante qui me borde. Une soupe et au lit. Ne manque qu'une bise dans le cou.

    Dimanche 03 h
    Départ de Trient je me sens proche de Tégève lorsqu'il reprend son boulot à la Sncf : je suis hagard.

    Dimanche 06 h 30
    J'ai résolu mon problème de sommeil : depuis Vallorcine  avant d'attaquer la Tête au vent je dors debout en marchant soutenu par les batons.

    Dimanche 10 h 30
    Après la descente depuis la Flégère c'est le retour triomphal à Chamonix
    Je cherche désespérément du regard une maman compréhensive qui me prêterait un ou deux de ses rejetons pour passer la ligne d'arrivée en famille. Dommage j'aurais du prévoir et en louer avant la course.
    Mes comparses m'attendent retenus par une barrière et c'est en monoparental que je passe
    sous le dernier portique.
    A quatre nous attendons l'autre vétéran Pat © en nous racontant nos périples, cette année la bière sera moins tiède.

    El Fenomeno.


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